La nutrithérapie n’est pas dans une approche restrictive et privative de son bol alimentaire, mais elle propose un rééquilibrage de celui-ci. Par ailleurs, il faut pouvoir être à l’écoute de ses sensations et de son corps.

Parfois, lors de premières consultations, certain·e·s écarquillent les yeux quand j’aborde la question des féculents et la quantité de pain vers laquelle il faut tendre. L’assiette ci-dessous met en évidence le fait que, si les proportions sont bien respectées, il s’avérerait en fin de compte difficile de manger davantage de pain. Pour ma part, malgré une matinée bien remplie, ce midi, je n’ai pas pu terminer mon assiette.

Suggestion :

Un lit de laitue romaine, 1 carotte râpée, quelques copeaux de chou rave et courgette crus, quelques noix, quelques olives, 1 toast au fromage de chèvre passé au four, deux roulades de jambon ainsi que de la maquée de brebis. Le tout accompagné d’une vinaigrette composée d’huile de noix, de vinaigre et d’un coulis de fraises.